La vie, cette vie magique, cette conscience qui à tout moment peut être retiré auprès de nous ou nos proches. Dans les photos de collège de ma fille, je vois un tableau de les étudiants heureux dans le groupe de l'année, mais l'un d'entre milieu d'eux est sur le point de commencer son voyage en dehors de cette vie qu'ils partagent.
Tant de tristesse, et de l'amour, et la douleur, tant de choses à dire, si peu à dire, les carresses, les câlins, les nuits de trivia, les pique-niques dans le parc finalement prévu que les pique-niques sur le lit, les visites à l'hôpital, les leçons de priorité, les adieux, et à un certain stade, les derniers adieux.
Je ne peux pas imaginer ce que sa famille ... sa mère, son père, son frère sa sœur ... doit être traverse en attendant à son chevet. Mais je respire glimpes de leur tourment dans le visage de ma fille et de ses larmes, et au milieu de tout cela l'angoisse une fois de plus je reçois la complainte de John Donne:
"Aucun homme n'est une île, complet en soi; la mort de chaque homme me diminue parce que je suis impliqué dans l'humanité donc de ne jamais envoyer de savoir pour qui sonne le glas, il sonne pour toi."
Bonne chance et ... à bientôt.
